"Dans les montagnes enneigées du Haut-Atlas, au sud-est du Maroc, Sophie et Pongo découvrent le pays berbère. Sous la rudesse de son climat, se cache l'hospitalité légendaire d'un peuple chaleureux, qui va accueillir Sophie dans un des villages les plus perdus de ces hauts sommets. Tous les samedis, les Berbères descendent des villages de l'Atlas pour s'approvisionner au marché d'Asni. Entre les étals des marchands de légumes et les têtes de chèvres des bouchers, Sophie..."
Latest Post
Dans tes yeux - Atlas (Maroc)
Written By Mes blogs on jeudi 1 novembre 2012 | 15:01
"Dans les montagnes enneigées du Haut-Atlas, au sud-est du Maroc, Sophie et Pongo découvrent le pays berbère. Sous la rudesse de son climat, se cache l'hospitalité légendaire d'un peuple chaleureux, qui va accueillir Sophie dans un des villages les plus perdus de ces hauts sommets. Tous les samedis, les Berbères descendent des villages de l'Atlas pour s'approvisionner au marché d'Asni. Entre les étals des marchands de légumes et les têtes de chèvres des bouchers, Sophie..."
L'erg Ch'ebbi (en arabe : عرق الشبي), Dunes de Merzouga
Il est situé dans le Tafilalet, au sud-est du Maroc, à environ 40 km au sud d'Arfoud, à proximité de l'Algérie. Il est long de 22 km et large de 5 km. Ses dunes peuvent atteindre 150 mètres de hauteur.
Le centre accueillant les touristes est le village de Merzouga, situé au pied des premières dunes. Ce village est accessible par la route et dix heures sont nécessaires pour le relier à Marrakech ou à Fès.
L'erg Chebbi est sillonné par de nombreux randonneurs et caravanes de dromadaires. Leurs but premier étant d'atteindre les plus grandes dunes de l'erg situées aux extrémités est du désert. Du haut de ces dunes, vous pourrez contempler les levers et couchers du soleil. Certains campements sont même installés aux pieds de ces grandes dunes. Vous trouverez également à Merzouga des guides qui vous proposeront de soigner vos rhumatismes par un bain de sable chaud.
Ouarzazate
Written By Mes blogs on mercredi 31 octobre 2012 | 00:00
Ouarzazate, ville du Cinéma, aux portes du Grand Sud marocain est un composé magnifique d’oasis, de kasbahs et de vallées florissantes.
C’est un vaste plateau désertique où se succèdent l’ombre fraîche des palmiers et l’immensité rocailleuse. Ouarzazate est régulièrement balayée par les vents du Sahara. Avec des températures atteignant 40°C en été, le contraste avec les cimes de l’Atlas couvertes de neige est saisissant.Cette diversité lui vaut d’avoir été, dès les années 70, choisie comme le lieu de tournage de nombreux films et superproductions internationales. Ses studios sont mondialement connus et Ouarzazate accueille régulièrement de nombreuses stars de l’écran.
Ses paysages saisissants de beauté attirent également de nombreux peintres, écrivains ou businessmen en quête de tranquillité et de beauté naturelle.
ODOE Morocco - raw footage 1/3; Marhoum sings for peace from Abdessamad Idrissi on Vimeo.
MEKNÈS
Written By Mes blogs on mardi 30 octobre 2012 | 15:16
A 140 km de Rabat et 60 km de Fès se trouve Meknès. Dans la ville impériale, les entrepôts de Dar-el-Ma rappellent la démesure du sultan alaouite Moulay Ismaïl. Les remparts et les monuments de l'ancienne capitale ont été construits par une armée d'esclaves. De la terrasse, la vue donne sur le bassin de l'Agdal Souani. Il s'étend sur 4 hectares. Dans le mausolée de Moulay Ismaïl, une cour décorée de mosaïques et aménagée d'une fontaine, mène à une salle ornée de stucs où repose le tombeau du sultan. La visite est ouverte à tous. Avant de vous rendre à la médina, passez par Bab Mansour : la porte bordée de frises en camaïeu de vert et incrustée d'étoiles de faïence qui brillent sous le soleil. La médersa Bou Inania, construite au XIVème siècle, avec sa cour en zelliges, plâtres et bois sculpté est un exemple typique de l'art hipano-mauresque. Au cours de votre balade dans les souks, demandez les anciennes kisarias où se vendent les tissus. Meknès se parcourt en une journée. http://www.easyvoyage.com/maroc
Ce vieillard marocain, le traditionnel << Chibani>>
Written By Mes blogs on samedi 18 août 2012 | 17:43
est l'image émouvante de cette méditation riche et profonde sur les hommes et sur Dieu. Dans un pays rude et beau, il faut une grande sagesse pour accepter un sort que les contrastes brutaux des temps modernes font souvent apparaître comme injuste et cruel. Mais ce vieux Berbère de Rissani est un sage qui a mesuré la vanité des apparences.
Le Maroc historique jusqu'à l'indépendance (1956)
Mais, au début du VIIe siècle, les Arabes sont maîtres du Maghreb et, en 711, Tarik, à la tête de 8000 Berbères convertis à l'islam, passe le détroit de Gibraltar et anéantit les Wisigoths à Xéres la même année. En 731, Arabes et Berbères sont à Poitiers; mais l'on connaît la célèbre bataille, au cours de laquelle Charles Martel arrêta définitivement le flot des envahisseurs, qui sera refoulé jusqu'à l'Elbe. Pourtant le visage du Maroc sera indélébilement marqué par cette symbiose avec l'Espagne, qui va durer jusqu'au XIIe siècle.
Les Berbères, une fois islamisés, donneront des leçons de conformisme à leurs maîtres. Sous l’influence des missionnaires Kharitites, qui imputaient aux Arabes leur genre de vie dépravée, une terrible révolte a lieu en 740, et la bataille du Sebou marque la fin de la domination des envahisseurs arabes sur le Maroc sans réussir
Les Berbères, une fois islamisés, donneront des leçons de conformisme à leurs maîtres. Sous l’influence des missionnaires Kharitites, qui imputaient aux Arabes leur genre de vie dépravée, une terrible révolte a lieu en 740, et la bataille du Sebou marque la fin de la domination des envahisseurs arabes sur le Maroc sans réussir
المغرب واسبانيا Le Maroc Certains noms, certains mots ont le pouvoir
certains mots ont le pouvoir de faire jaillir dans l'esprit de qui les prononce une illumination féerique, des cascades de couleurs, une ronde merveilleuse d'images enchantées.
Le Maroc est de ceux-là. A le dire seulement, vous estompez la grisaille du temps, vous larguez les amarres pour une croisière secrète et vos poumons s'élargissent à l'intuition des brises fraîches des montagnes ou des souffles brûlants du Sud. C'est la jolie tentation du voyage qui se glisse dans votre pensées. Mais on ne va pas au Maroc comme l'on va vers un quelconque point du monde. Il faut avoir dans le coeur la clé invisible, mais combien utile, d'un pays qui n'accorde au passant que des sensations merveilleuses mais fugaces. Pour le comprendre et pour l'aimer, il faut l'étudier d'abord, se préparer ensuite à son particularisme séduisant, à sa joie chaude, à sa beauté sensuelle et envoûtante.
Examiné sur une carte, le Maroc apparaît comme un "Finis Terrae" transformé en bastion par un caprice de la nature. Le doigt qui le recherche le situe d'emblée dans le Maghreb, mais un Maghreb qui aurait pu être relié à l'Europe par un cordon ombilical s'il n'avait été coupé par le violent courant du détroit de Gibraltar. Ce détroit est d'ailleurs le point marquant des contrastes marocains puisqu'il doit sa force à l'appel des eaux chaudes de la Méditerranée vers les eaux fraîches de l'Atlantique. Mais, non content d'appartenir à deux univers différents, le Maroc va être le pays du dualisme, et ce caractère nous le retrouverons tout au long du voyage. Quoi de plus intéressant d'ailleurs que ce choix permanent suggéré à l'esprit par la géographie, le milieu et les hommes qui le composent? Bien entendu, on ne peut découvrir ce pays fascinant à travers ses palaces et ses escales internationales. De ce type d'observatoire, on a toujours une vue stéréotypée des choses et la fausse impression de connaître ce que l'on ignore, en définitive. C'est au contraire au long des routes et des pistes que l'on se forgera une idée juste et que l'on apprendra à connaître le Maroc, qui tire curieusement son nom de la corruption de celui de l'une de ses villes: Marrakoush, la Marrakech actuelle.
Le Maroc est de ceux-là. A le dire seulement, vous estompez la grisaille du temps, vous larguez les amarres pour une croisière secrète et vos poumons s'élargissent à l'intuition des brises fraîches des montagnes ou des souffles brûlants du Sud. C'est la jolie tentation du voyage qui se glisse dans votre pensées. Mais on ne va pas au Maroc comme l'on va vers un quelconque point du monde. Il faut avoir dans le coeur la clé invisible, mais combien utile, d'un pays qui n'accorde au passant que des sensations merveilleuses mais fugaces. Pour le comprendre et pour l'aimer, il faut l'étudier d'abord, se préparer ensuite à son particularisme séduisant, à sa joie chaude, à sa beauté sensuelle et envoûtante.
Examiné sur une carte, le Maroc apparaît comme un "Finis Terrae" transformé en bastion par un caprice de la nature. Le doigt qui le recherche le situe d'emblée dans le Maghreb, mais un Maghreb qui aurait pu être relié à l'Europe par un cordon ombilical s'il n'avait été coupé par le violent courant du détroit de Gibraltar. Ce détroit est d'ailleurs le point marquant des contrastes marocains puisqu'il doit sa force à l'appel des eaux chaudes de la Méditerranée vers les eaux fraîches de l'Atlantique. Mais, non content d'appartenir à deux univers différents, le Maroc va être le pays du dualisme, et ce caractère nous le retrouverons tout au long du voyage. Quoi de plus intéressant d'ailleurs que ce choix permanent suggéré à l'esprit par la géographie, le milieu et les hommes qui le composent? Bien entendu, on ne peut découvrir ce pays fascinant à travers ses palaces et ses escales internationales. De ce type d'observatoire, on a toujours une vue stéréotypée des choses et la fausse impression de connaître ce que l'on ignore, en définitive. C'est au contraire au long des routes et des pistes que l'on se forgera une idée juste et que l'on apprendra à connaître le Maroc, qui tire curieusement son nom de la corruption de celui de l'une de ses villes: Marrakoush, la Marrakech actuelle.
Morocco Postcard...might paint a picture of mystic and
“Ride a camel? Magic carpet? Pointy shoes? Mint Tea? Gucci Handbag sir? Shine your shoes geezer…cockney charm? Brother has a very nice hotel? No!? I have Taxi very rapide. Sprechen Zie Deutch? Ich bin ein Berliner. Geben Sie mir zehn Euro? Nein. Hmmm…. Gold? Silver? As you like…welcome to Morocco” and that was just the old man at passport control. Morocco has a wealth of natural charm and the potential for fantastic short breaks, but the constant sales pitch can leave a nasty taste in your mouth.
MARRAKECH Ville Impériale La ville ocre...
elle fut, au cours de ses 10 siècles d'histoire, à plusieurs reprises et sous différentes dynasties, la capitale du Royaume.
Rappelé aux frontières, Abou Bakr confie sa nouvelle cité à son cousin, Youssef Ben Tachfine. Le sultan embellit sa ville grâce aux butins des conquêtes, et notamment les richesses ramenées d’Espagne par les sultans andalous. Il meurt presque centenaire en 1066 et son fils, Ali Ben Youssef Ben Tachfine continue son œuvre. Mais des merveilles de la capitale d’un état qui s’étendait de l’Atlantique au Tafilalet et jusqu’à Alger ne reste presque rien, quelques murailles, la koubba el-Ba’Adyine. En effet, les almohades, sous la conduite d’Abd El Moumen la détruisent totalement en 1147. Une fois les almoravides renversés, il reconstruisent la ville, essentiellement avec des artisans andalous. De cette époque datent des monuments comme la Koutoubia, des jardins comme ceux de l’Agdal et de la Menara.
A la chute de cette dynastie, en 1269, Marrakech est abandonnée au profit de Fès, pour trois siècles troublés. Les Saadiens, qui la rétablissent comme capitale, avaient trouvé en 1522 une ville dépeuplée par la famine, appauvrie, en ruines.Nouvelles reconstructions, nouvel essor, en partie grâce à l’or des Portugais, après leur défaite à la bataille des Trois Rois (4 août 1578), mais surtout l’or d’Afrique, ramené de Tombouctou par les grandes caravanes sahariennes. A la fin du XVI° siècle, Marrakech atteint son apogée, avec plus de 60.000 habitants, un important mellah, et l’affluence des Européens, diplomates et commerçants.Mais les Saadiens perdent le pouvoir, Marrakech son statut de capitale au profit de Fès, et les luttes intestines, l’insécurité montante font replonger Marrakech dans l’obscurité. Moulay Ismaïl s’attache à détruire toute trace de la dynastie précédente. C’est ainsi que les tombeaux Saadiens sont emmurés, et ne seront retrouvés que par hasard, à l’occasion d’un survol en avion, au début du XX° siècle. A la fin du XVIII° Mohammed III restaure à nouveau la ville, replante les jardins.Sous le protectorat, l’insoumission gagne Marrakech qui devient un point d’appui des Sahariens en dissidence, comme par exemple, El Hiba. Le protectorat développe d’autres villes, mais s’appuie aussi sur les derniers pachas du Maroc, les Glaouis, qui durent définitivement quitter Marrakech après l’indépendance. La ville nouvelle est construite.
La ville ocre, la ville rouge a été fondée il y a près de mille ans, en 1062 exactement, par l’almoravides Abou Bakr, qui en bâtit le premier palais et la première mosquée, près d’une source au pied de la colline du Guéliz. C’est le début d’une histoire pleine de rebondissements d’une ville qui sera plusieurs fois capitale, plusieurs fois abandonnée, restaurée, redynamisée.
Elle est Marrakouch, le pays des fils du Kouch, autrement dit le domaine des guerriers noirs Africains venus de Mauritanie soutenir les souverains almoravides. Elle est la plus berbère et la plus africaine des cités impériales, la plus cosmopolite aussi, et pendant longtemps la plus riche. Dans ses pierres on trouve mille ans d’histoire, des restes des premières splendeurs almoravides (comme le Minbar de la Koutoubia) à l’architecture rectiligne et moderne de la villa Majorelle.
FÈS...Capitale historique du royaume...ville impériale
Capitale historique du royaume, Fès est la plus ancienne des 4 villes impériales du Maroc. Son patrimoine culturel et architectural est considérable grâce à la préservation de ces nombreux monuments. Célèbre dans l'ensemble du monde musulman, Fès a longtemps rayonné sur les plans intellectuels et religieux. Pas étonnant d'y retrouver certains des plus beaux musées du Maroc. Fondée en 789 par Idriss 1er, descendant du prophète Mahomet et fondateur du royaume, Fès devient rapidement la capitale du Maroc. Au IXe siècle, le sultan Idriss II accueille, tour à tour, de nombreuses familles andalouses, juives et kairouanaises. Ce "melting pot" profite à Fès qui devient le centre culturel et religieux du Maroc. En 1069, les Almoravides s'emparent de Fès après 6 années de siège. La ville perd son statut de capitale au profit de Marrakech. Toutefois, Fès continue à rayonner sur le plan culturel et artistique. Au XIIe siècle, ce sont les Almohades qui s'emparent de la ville. A cette époque, Fès est un véritable carrefour commercial entre l'Espagne, le Maghreb et le Sahara. La ville continue de prospérer.
Au XIIIe siècle, l'affaiblissement des Almohades profite aux Mérinides. Cette nouvelle dynastie fait de Fès sa capitale en 1250. L'apogée de la ville commence. Les Mérinides veulent donner à Fès une nouvelle dimension. Ils entament la construction d'une ville dans la ville : l'incroyable Fès el Jedid comprenant palais royal, jardins, bains, mosquées et casernes, le tout protégé par une enceinte. Les médersas, écoles coraniques, font le prestige de Fès car elles forment les élites religieuses, intellectuelles et politiques. L'age d'or de Fès est aussi une période où le commerce international est florissant. Les échanges avec le Portugal et l'Angleterre, mais aussi l'Inde et le Moyen Orient, se multiplient.
A partir du XVe siècle, Fès va connaître un certain déclin avec la fin des Mérinides. En 1549, les Saadiens s'emparent de Fès mais lui préfèrent Marrakech, conquise 25 ans plus tôt. La chute de la ville s'accélère au XVIIe siècle entre peste, famines et guerres civiles.
La roue tourne en 1666 lorsque le premier souverain de la dynastie Alaouite fait de Fès sa capitale. Le commerce est rétabli et la ville se repeuple. Au XVIIIe siècle, Fès rayonne de nouveau sur les plans religieux et intellectuels notamment grâce à la célèbre et puissante université de la Qaraouiyne, la plus vieille du monde.
Au XIXe siècle, Hassan 1er commence à moderniser la ville. Mais il faudra attendre 1912, date de l'acte du protectorat de Fès, pour que la ville moderne se développe vraiment. Peu après, Fès perd son statut de capitale au profit de Rabat.
En 1980, la ville est classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
A partir du XVe siècle, Fès va connaître un certain déclin avec la fin des Mérinides. En 1549, les Saadiens s'emparent de Fès mais lui préfèrent Marrakech, conquise 25 ans plus tôt. La chute de la ville s'accélère au XVIIe siècle entre peste, famines et guerres civiles.
La roue tourne en 1666 lorsque le premier souverain de la dynastie Alaouite fait de Fès sa capitale. Le commerce est rétabli et la ville se repeuple. Au XVIIIe siècle, Fès rayonne de nouveau sur les plans religieux et intellectuels notamment grâce à la célèbre et puissante université de la Qaraouiyne, la plus vieille du monde.
Au XIXe siècle, Hassan 1er commence à moderniser la ville. Mais il faudra attendre 1912, date de l'acte du protectorat de Fès, pour que la ville moderne se développe vraiment. Peu après, Fès perd son statut de capitale au profit de Rabat.
En 1980, la ville est classée au patrimoine mondial de l'Unesco.